Ses mains ont l'air si rassurantes.
Il est là, jsute là. J'peux presque le touché. En fait je le touche, nous sommes assis un à côté de l'autre. Je ne le connais pas et il ne me connais pas non plus. Et pourtant..
Oui! Je le veux. La volonté est un sentiment très profond. Elle a beau être aussi abstraite que l'univers tout entier, elle fait mal à en mourrir.
J'ai pourtant essayer de me contrôler. Je ne le reagardais seulement qu'à distance, j'évitais de fixer trop longtemps.
Mais putain ce matin il était trop tard.
Je m'assois timidement sur le banc que nous partageions déjà, avant même que je comprenne que j'avais osé m'assoir à ses côtés.
Il est grand, imposant, timide, sur de lui.
Il a de grandes mains, de petite lunettes fragile, un sourire en or.
Il me fait fondre, j'ai envie d'lui demandé s'il connait la guerre.
Oserais-je demain?
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