7.05.2010
249km de découverte
Après 249km.. J'ai apris; Que le Lac St-jean c'est un autre pays qui a sa propre langue.. qu'on dit pas conduire manuel mais conduire baton, on dit pas un cornet de crème glacée a la vanille, mais bien en casseau de crème a glace a vanile. Qu'au Lac st-jean les "ch" et les "j" sont renplacé par des semi "rr" . Au Lac St-jean tu t'essuis pas la bouche, tu t'essuis le "crocher" et tout les mots se finissant par "er" se prononce "eur" . J'ai roullé sur la Rue Principale, J'ai rencontré Dédé Fortin. eh non il n'est pas mort ! et finalement j'ai appris que ma tante avait accueillis Éric Lapointe en jaquette sans jamais le reconnaître.* A noter que certains mots pourraient ne pas etre reconnu par l'office de la langue francaise.
1.13.2010
Ses mains ont l'air si rassurantes.
Ses mains ont l'air si rassurantes.
Il est là, jsute là. J'peux presque le touché. En fait je le touche, nous sommes assis un à côté de l'autre. Je ne le connais pas et il ne me connais pas non plus. Et pourtant..
Oui! Je le veux. La volonté est un sentiment très profond. Elle a beau être aussi abstraite que l'univers tout entier, elle fait mal à en mourrir.
J'ai pourtant essayer de me contrôler. Je ne le reagardais seulement qu'à distance, j'évitais de fixer trop longtemps.
Mais putain ce matin il était trop tard.
Je m'assois timidement sur le banc que nous partageions déjà, avant même que je comprenne que j'avais osé m'assoir à ses côtés.
Il est grand, imposant, timide, sur de lui.
Il a de grandes mains, de petite lunettes fragile, un sourire en or.
Il me fait fondre, j'ai envie d'lui demandé s'il connait la guerre.
Oserais-je demain?
Il est là, jsute là. J'peux presque le touché. En fait je le touche, nous sommes assis un à côté de l'autre. Je ne le connais pas et il ne me connais pas non plus. Et pourtant..
Oui! Je le veux. La volonté est un sentiment très profond. Elle a beau être aussi abstraite que l'univers tout entier, elle fait mal à en mourrir.
J'ai pourtant essayer de me contrôler. Je ne le reagardais seulement qu'à distance, j'évitais de fixer trop longtemps.
Mais putain ce matin il était trop tard.
Je m'assois timidement sur le banc que nous partageions déjà, avant même que je comprenne que j'avais osé m'assoir à ses côtés.
Il est grand, imposant, timide, sur de lui.
Il a de grandes mains, de petite lunettes fragile, un sourire en or.
Il me fait fondre, j'ai envie d'lui demandé s'il connait la guerre.
Oserais-je demain?
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